Pascal
Pour repondre a la question : oui, on peut en vivre, mais mieux vaut etre embauche en traducteur "in-house" dans une entreprise, ou travailler comme interimaire (haken shain).
Il y a aussi des personnes qui ont un titre de sejour (visa familial, d'epoux...) et font de la traduction a distance pour la France.
Pour etre traducteur freelance au Japon, les difficultes sont les memes qu'en France (demarchage de la clientele, contacts, gestion, visibilite, travail avec les agences...), plus celle, cruciale, du titre de sejour. Les seules personnes que je connaisse qui ont reussi a etre freelance au Japon... l'un est un ancien employe "classique" qui s'est reconverti, et il a toujours des difficultes a renouveller ses titres de sejour (il est celibataire). Les autres sont tous maries avec des Japonaises et souvent des freelance qui ont pour client principal leur ancien employeur.
D'une maniere generale, il est difficile de trouver un poste de traducteur "in-house" comme d'etre freelance.