Je trouve qu'il confirme une fois de plus les stereotypes des occidentaux
par rapport a ce pays, a deshumaniser encore les japonais dans leur monde incomprehensible

Je suis assez d'accord et je ne crois pas que ce film fasse passer les japonais pour des imbeciles.le_developpeur a écrit :Je pense aussi que c'est un bon film, l'experience des personnes montrer me semble assez realiste ( bien quelle soit exagere et rommance ).
Si la realisatrice aurai fait le choix inverse, a savoir l'histoire d'une personne qui reste 15 jours au Japon et qui s'integre parfaitement et devient japonais, cela m'aurait deja plus gener.
Je ne connais pas Nanzenji, mais vu le nom, c'est forcément un temple (tera). Effectivement, les mariages dans les temples, c'est très rare. Il paraît que ça existe, mais c'est très très rare (les mariages se font habituellement aux sanctuaires (jinja)).Nanzenji d'ailleurs, jamais vu de mariage a cet endroit!
On parle du Nanzenji de Kyoto ? Moi j'aime bien ce temple mais je ne me souviens plus de cette scène.... je tâcherai de faire attention et de moins regarder l'actrice la prochaine fois.kansaijin a écrit :c'etait a Nanzenji d'ailleurs, jamais vu de mariage a cet endroit!)
Dans ces cas-là, ce sont les <i>pissotières</i> qui posent problème en premier. Mais bon, des pissotières au Hayatt...jlz a écrit :Je l'ai vu il y a déjà un moment, je ne me rappelle donc plus en détails, mais je retiens le stéréotype de la douche trop petite pour nous les étrangers...
shaahrazade a écrit :J'ai trouvé pour ma part que le film décrivait bien la mentalité de certains étrangers, qui refusent de sortir de l'hôtel...
Je pense que shaahrazade voulait dire cela, et dans ce sens, je suis absolument d'accord avec lui.bcg a écrit :J'imagine que ce que veut dire Shaarazade, c'est que certains étrangers ont une vision tronquée du pays qu'ils visitent en restant dans un circuit fermé, hôtel, circuits touristiques bien balisés et qu'ils ne vont pas à la rencontre de l'habitant.
Je veux entre autres dire ça. Ma sœur travaille dans le tourisme, et il y a des histoires absolument incroyables. Les touristes les plus classiques restent effectivement dans le circuit pré-programmé avec le guide qui parle français et le groupe de même nationalité. Mais il y a aussi des gens, comme le type du film, qui ne sortent jamais de l'hôtel. Ils descendent manger au restaurant de l'hôtel et boire au bar de l'hôtel mais n'en sortent jamais pour aller voir dehors. Il y a même des cas extrêmes qui refusent de sortir pour aller à l'aéroport, et il faut aller les chercher de force pour les mettre dans l'avion à la fin de leur séjour (c'est pas une blague, dans l'agence ou bosse ma sœur, ils ont une assurance pour ça, c'est dire que ce n'est pas tout le monde mais pas rare non plus !). Pour des raisons qui m'échappent ce genre de crise d'agoraphobie (ou de paraplégismebcg a écrit :J'imagine que ce que veut dire Shaarazade, c'est que certains étrangers ont une vision tronquée du pays qu'ils visitent en restant dans un circuit fermé, hôtel, circuits touristiques bien balisés et qu'ils ne vont pas à la rencontre de l'habitant.shaahrazade a écrit :J'ai trouvé pour ma part que le film décrivait bien la mentalité de certains étrangers, qui refusent de sortir de l'hôtel...