Au-delà du nuage : Yonaoshi 3, 11 en présence de la réalisatrice, le 10 décembre 2013 à Cannes

Rectificatif : La projection aural lieu à Cannes le mardi 10 décembre, à 19H00 au Studio 13, avenue Docteur Picaud.

Dans le cadre des 26eme Rencontres cinématographiques de Cannes et en partenariat avec l’association France Japon de Cannes, un documentaire passionnant sera diffusé : Au-delà du nuage : Yonaoshi 3, 11 de  la réalisatrice Keiko Courdy, partie rencontrer pendant plus d’un an des habitants des régions sinistrées, peu après la catastrophe nucléaire survenue à Fukushima le 11 mars 2011.
Son tra­vail s’appuie sur une lon­gue enquête dans les contrées les plus reculées du Japon post-Fukushima, cons­ti­tuée des témoi­gna­ges de gens de Fukushima affec­tés par la catas­tro­phe. Mais aussi une série rare d’inter­views de per­son­na­li­tés japo­nai­ses connues et enga­gées qui réflé­chis­sent aux chan­ge­ments et à la pos­si­bi­lité d’un renou­veau après l’acci­dent (ancien pre­mier minis­tre pen­dant la crise, jour­na­lis­tes et acti­vis­tes anti­nu­cléaire, écrivains, Manga-ka, 1 japo­nais astro­naute dans l’espace, archi­tec­tes de struc­tu­res pour réfu­giés )…
Elle nous fait découvrir les rizières de ses ancêtres et raconte, avec ses frères, les moments de crise par lesquels est passée sa famille, après la catastrophe. Pour elle comme pour de nombreux habitants, il n’est pas question de déménager.
Vous pourrez également voir une séquence du documentaire  sur le lien suivant : https://www.yonaoshi311.com/#/FR/prehome
La projection aura lieu à Cannes le 10 décembre à 19h au Studio 13, avenue Docteur Picaud , en présence de la réalisatrice, qui sera là pour discuter avec le public à la suite du film.

Japon: la méfiance grandit à l’égard de Tepco, l’opérateur de Fukushima

Source : Hiroshi HIYAMA (AFP)

TOKYO — En admettant que les dégâts à la centrale de Fukushima sont pires qu’annoncés précédemment, l’opérateur du site, Tepco, a semé le doute sur l’exactitude des informations qu’il délivre depuis plus de deux mois, après le pire accident nucléaire depuis 25 ans.

Tokyo Electric Power (Tepco), plus grande entreprise d’électricité en Asie, a ces derniers jours dressé un tableau de la situation au sein de Fuskushima Daiichi (n°1) plus noir qu’auparavant.

L’opérateur vient ainsi de se rendre compte, grâce à de nouvelles mesures, que le combustible nucléaire des réacteurs 1, 2 et 3 avait vraisemblablement fondu, faute d’avoir été immergé pendant plusieurs heures après la catastrophe du 11 mars qui a anéanti les systèmes de refroidissement.

Le combustible du réacteur 1 serait tombé au fond de la cuve sous pression.

Auparavant, l’opérateur, comme le gouvernement, assurait que la fusion était peu probable, les réacteurs relativement stables et les fuites radioactives dangereuses largement contenues.

Le Premier ministre Naoto Kan a admis que son gouvernement n’avait pas repéré les inexactitudes des précédentes déclarations de l’opérateur électrique.

« Ce que j’ai déclaré à la population était totalement erroné », a reconnu Naoto Kan vendredi devant le Parlement. « Nous n’avons pas su détecter les fausses affirmations de Tepco. J’en suis profondément désolé ».

(lire l’article intégral ici)

Tepco : patauger puis s’enliser…

La fusion du cœur du réacteur 1 de la centrale de Fukushima, au Japon, pourrait avoir été causée par une erreur humaine, révèle mercredi 18 mai le Japan Times. Le quotidien se fonde sur des documents internes de la compagnie d’électricité Tokyo Electric Power Co. (Tepco), opérateur de la centrale nucléaire accidentée, qui remettent en cause de précédentes conclusions du gouvernement japonais.
Source : Le Monde et le Japan Times
Lire les articles complets sur ces médias.

Tepco n’en finit pas de… patauger dans l’eau radioctive

Source : Actu Japon https://actu.jp
Votre revue quotidienne en français de la presse japonaise.

Tepco contraint de revoir son projet de stabilisation du réacteur numéro 1

La Compagnie d’électricité de Tokyo est contrainte de revoir sa stratégie de stabilisation de la situation à la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi après l’annonce que le coeur de l’un de ses réacteurs est entré en fusion.

Tepco a révélé jeudi que la plupart des crayons de combustible à l’intérieur du réacteur numéro un ont probablement fondu et sont tombés au fond du réacteur. L’opérateur a reconnu que l’eau de refroidissement du réacteur était tombée à un niveau exposant complètement les crayons de combustible si ces derniers se trouvaient dans leur position normale. Tepco suppute que le combustible au fond du réacteur a refroidi, si l’on prend en compte la température de surface du réacteur.

Vendredi, les employés de la centrale ont transporté de l’équipement permettant de relier un circuit de refroidissement au réacteur, comme le prévoit le plan mis en place le mois dernier par Tepco, qui souhaitait remplir l’enceinte de confinement du réacteur numéro 1 avec de l’eau puis mettre en place un système de refroidissement pour faire circuler cette eau vers un échangeur de chaleur.

Mais ce système ne peut fonctionner que si l’eau dans l’enceinte de confinement est d’une profondeur d’au moins cinq mètres. Tepco reconnaît ne pas connaître le niveau d’eau actuel à l’intérieur de l’enceinte, mais espère trouver rapidement un moyen pour l’évaluer. (NHK World)

Un des réacteurs de Fukushima est plus endommagé qu’on ne le croyait

Source The Associated Press

Un des réacteurs nucléaires de la centrale japonaise de Fukushima est plus lourdement endommagé qu’on ne le croyait jusqu’à présent, ce qui pourrait compliquer les opérations de stabilisation.
Les experts ont découvert que le niveau de l’eau autour du coeur du réacteur numéro 1 est nettement plus bas qu’ils ne le pensaient, ce qui signifie que les barres de combustible ont été entièrement exposées et que les fuites radioactives dans la chambre ont été plus importantes qu’anticipé.
Lire l’article ICI.

Naoto Kan renonce à son salaire de Premier ministre du Japon

(Source AFP sur Google) TOKYO — Naoto Kan a annoncé mardi qu’il renonçait à son salaire de Premier ministre du Japon tant que la crise ne serait pas finie à la centrale nucléaire accidentée de Fukushima.
Lire l’article complet ICI.

Fukushima : le gouvernement accusé d’avoir minoré le niveau de gravité à cause des élections locales (Le Monde)

« Le Parti démocrate a certainement retardé l’annonce du reclassement du niveau de gravité pour attendre la fin les élections, qu’il a d’ailleurs perdus. Je réclame plus de transparence. » Ce message, envoyé sur Twitter par @pukuma, un habitant de la préfecture de Shimane, dans le sud du Japon, n’est pas un cas isolé. Depuis mardi matin, des accusations du même type déferlent sur le réseau social, très utilisé dans l’archipel.

De nombreux Japonais en veulent aux autorités d’avoir attendu la fin des élections locales de dimanche pour reclasser subitement l’accident nucléaire de Fukushima au même niveau que celui de Tchernobyl.
(…)
Lire l’intégralité de l’article d’Antoine Bouthier ici : Source : https://www.lemonde.fr/japon/article/2011/04/12/fukushima-le-niveau-de-gravite-aurait-ete-minore-a-cause-des-elections-locales_1506375_1492975.html

Exercice de classe : recherche des mots-clés dans le point de situation du samedi 26 mars à 12h00 (Fukushima et radioactivité)

L’ambassade publie quotidiennement des «points de situation ».
Aujourd’hui, nous vous proposons un exercice de recherche de mots-clés pour la compréhension du texte. Pour vous aider, nous mettrons la solution en commentaire ou en rouge (ou encore en italiques). Vous pouvez proposer réponses en postant des commentaires.
la rédaction de france-japon.net

Séisme – Accident nucléaire : Point de situation

Samedi 26 mars à 12h00

Voici le point de situation élaboré par les experts de l’Institut de radioprotection et de sureté nucléaire (IRSN : www.irsn.fr)

Ce point sera publié tant que la situation à Fukushima ne sera pas stabilisée par des moyens pérennes.

1. Situation sur le site de Fukushima :

Les efforts continus des autorités japonaises commencent à porter leurs fruits. La connexion de la centrale au réseau électrique est un signe positif, même si la mise sous tension, qui n’a pas encore été totalement effectuée, reste une opération délicate.

La situation sur le site reste toutefois précaire, notamment en cas de séisme. De forts rejets radioactifs se poursuivent. Les autorités japonaises ont fait part d’un doute quant à l’intégrité de la cuve du réacteur n°3.

La radioactivité sur le site est toujours élevée.

2. Prévisions météorologiqes :

Aujourd’hui les vents se dirigent vers le sud-est, c’est-à-dire vers l’océan.

Cette situation devrait se poursuivre demain dimanche.

3. Recommandations de l’IRSN :

La pluie des derniers jours a facilité la contamination des sols et de l’eau. La présence d’iode 131 et du césium 137 a notamment été décelée à des niveaux significatifs dans certaines villes et départements du Japon, notamment dans le Kanto. L’ingestion d’eau du robinet a été déconseillée pour les bébés. Ces niveaux de contamination ne présentent toutefois pas de danger immédiat pour la santé humaine.

* Pour ce qui est de l’eau du robinet, la consommation d’eau en bouteille est préférable, notamment pour les jeunes enfants et y compris pour la cuisine. En revanche, les douches, les lessives, vaisselles et autres tâches ménagères peuvent être effectuées avec de l’eau du robinet.

* S’agissant des habitations et espaces professionnels, nous réitérons les consignes d’hygiène, surtout par temps humide : manteaux, chaussures, parapluies et tout accessoire en contact direct avec l’extérieur et surtout avec le sol doivent être laissés à l’extérieur.

Nous rappelons enfin à nos compatriotes qu’il faut suivre en toute circonstance les consignes des autorités japonaises. La prise de comprimés d’iode est à exclure pour l’instant, le niveau de radioactivité dans l’air étant sans danger pour la santé humaine. Les autorités japonaises donneront le signal en cas de besoin.

– Prochain bulletin : dimanche 27 mars à 12h00

Source : Service de Communication et d’Information (26 mars)
https://www.ambafrance-jp.org/spip.php?article4641

Article du journal Le Monde, 21 mars 2011 : TEPCO accusé d’avoir maquillé des rapports de contrôle

« Une dizaine de jours avant le séisme et le tsunami qui ont ruiné le nord-est du Japon et abîmé la centrale Fukushima n° 1, Tepco avait remis un document aux autorités dans lequel il reconnaissait avoir faussé les données des registres de contrôle. »
Lire l’article complet en cliquant sur le lien ci-dessous.
Source : Le Monde https://www.lemonde.fr/japon/article/2011/03/21/amelioration-en-trompe-l-oeil-a-fukushima_1496078_1492975.html

Point de situation du 20 mars 2011 à 06 heures Centrale de Fukushima I (Daiichi) par l’IRSN

Source : Note d’information de l’INSTITUT de RADIOPROTECTION et de SÛRETÉ NUCLÉAIRE ( IRSN )
https://www.irsn.fr/FR/Documents/home.htm

Situation des réacteurs nucléaires au Japon suite au séisme majeur survenu le 11 mars 2011
Point de situation du 20 mars 2011 à 06 heures Centrale de Fukushima I (Daiichi)

Depuis le précédent point d’information du 19 mars 2011 sur la situation de la centrale de Fukushima Daiichi, les informations obtenues par le centre technique de crise de l’IRSN permettent d’établir l’état suivant des installations.

Réalimentations électriques
La connexion d’un câble au transformateur provisoire du réacteur n°2 a été réalisée. L’alimentation électrique du réacteur lui-même n’est pas encore effective. Le réacteur n°1 pourrait être réalimenté le 20 mars à partir du réseau électrique commun aux réacteurs 1 et 2.
Etat des bâtiments
Le document en annexe résume l’état des bâtiments sur le site. (voir le pdf disponible en téléchargement sur le site web de l’IRSN)

Etat des piscines
Les quantités d’assemblages combustibles présents dans les piscines des réacteurs 1 à 4 sont confirmées (respectivement 292, 587, 514 et 1500 assemblages). Les puissances résiduelles associées ont été réévaluées par l’IRSN. Sur cette base, l’IRSN réévalue périodiquement les délais avant le début de découvrement des assemblages.
L’IRSN suspecte des fuites sur la piscine n°3 et peut-être sur la piscine n°1. La situation est néanmoins stable vue les injections effectuées par lances à eau.

Piscine du réacteur n°1
La puissance à évacuer est faible. Une baisse de niveau antérieure fait supposer une fuite dans cette piscine. L’utilisation de lances à eau sur camions semble prévue.

Piscine du réacteur n°2
La piscine est en ébullition. L’utilisation de lances à eau sur camions semble prévue, en dépit de l’intégrité du bardage supérieur du bâtiment. L’IRSN a peu d’information récente sur cette piscine.

Piscine du réacteur n°3
Une première ébullition a été stoppée par l’appoint en eau par hélicoptères et lances à eaux sur camion. Un camion de pompier avec un débit de 3,8 tonnes/min et une échelle de 22 mètres aurait été utilisé pendant 20 à 30 minutes. Un deuxième appoint en eau a été réalisé le 19 mars à 00h30 heure locale (le 18 mars à 16h30 heure de Paris).
L’IRSN estime que la dalle anti-missile située à la verticale de la cuve et de l’enceinte de confinement a dû être détruite lors de l’explosion hydrogène du 14 mars 2011. Si les ouvrages qui supportent cette dalle ont également été touchés, il est envisageable, outre les fuites éventuelles,
que le niveau d’eau maximal possible au dessus des assemblages combustibles entreposés dans la piscine soit diminué (dans le pire cas : 1 mètre au dessus du haut des assemblages). Ceci expliquerait les débits de dose très importants au droit du bâtiment et confirmerait les efforts pour maintenir en eau cette piscine.
Un appoint de 2000 tonnes d’eau a eu lieu dans la nuit du 19 au 20 mars pendant 9 heures.

Piscine du réacteur n°4
Une première ébullition a été stoppée par l’appoint en eau par hélicoptères et lances à eaux sur camion. La puissance dégagée dans cette piscine est assez élevée. Un appoint de 80 tonnes d’eau a eu lieu dans la nuit du 19 au 20 mars pendant 1 heure.

Piscine du réacteur n°5
La température de l’eau de cette piscine est en nette baisse. Le niveau d’eau est contrôlé. Le toit du bâtiment a été percé pour éviter une éventuelle combustion d’hydrogène comme sur le bâtiment N°4.

Piscine du réacteur n°6
La température de l’eau de cette piscine est stable. Le niveau d’eau est contrôlé. Le toit du bâtiment a été percé pour éviter une éventuelle combustion d’hydrogène comme sur le bâtiment N°4.
Piscine de désactivation commune du site
Cette piscine contiendrait de l’ordre de 6500 assemblages. Bien que la puissance unitaire dégagée par ceux-ci soit nettement plus faible que celle dégagée des assemblages présents dans les piscines des réacteurs, ils doivent néanmoins être également refroidis. La température et le niveau dans la piscine sont maintenant contrôlés.

Etat des réacteurs
L’IRSN se préoccupe des quantités de sel cristallisées suite à l’injection d’eau de mer dans les cuves des réacteurs (impact sur le refroidissement des cœurs, risque de blocage de soupapes…). De manière générale, il conviendrait de reconstituer des réserves d’eau claire sur le site.

Réacteur n°1
Selon l’exploitant, 70% du cœur du réacteur serait endommagé. L’injection d’eau de mer dans la cuve serait maintenue afin d’assurer le refroidissement du cœur qui reste cependant partiellement dénoyé. L’eau contenue dans la cuve se décharge dans l’enceinte de confinement via une soupape. L’enceinte de confinement est maintenue intègre. Il n’y a vraisemblablement plus d’opérations de dépressurisation de l’enceinte de confinement. Il n’y aurait donc plus de rejet direct de produits radioactifs dans l’environnement pour l’instant. Ceci est néanmoins à confirmer dans la mesure où l’enceinte n’est pas refroidie.
La partie supérieure du bâtiment réacteur a été soufflée par une explosion. La salle de commande est très irradiante, limitant le temps de présence des intervenants.

Réacteur n°2
Selon l’exploitant, 33% du cœur du réacteur serait endommagé. L’injection d’eau de mer dans la cuve est maintenue afin d’assurer le refroidissement du cœur qui est maintenant sous eau. L’enceinte de confinement est endommagée, toutefois il ne semble pas que l’étanchéité soit remise en cause (la pression à l’intérieur du bâtiment étant fluctuante). Il n’y a vraisemblablement plus d’opérations de dépressurisation de l’enceinte de confinement. Il n’y aurait donc plus de rejet direct de produits radioactifs dans l’environnement pour l’instant. Ceci est néanmoins à confirmer dans la mesure où l’enceinte n’est pas refroidie.
La salle de commande est très irradiante, limitant le temps de présence des intervenants.

Réacteur n°3
Le cœur du réacteur est partiellement endommagé. L’injection d’eau de mer dans la cuve serait maintenue afin d’assurer le refroidissement du cœur qui reste cependant partiellement dénoyé. La vapeur produite dans la cuve au contact du combustible s’évacue dans l’enceinte de confinement qui semble toujours étanche.
Une action de dépressurisation de l’enceinte est envisagée du fait de sa montée en pression. Cette action entraînerait de nouveaux rejets de produits radioactifs dans l’environnement.
La partie supérieure du bâtiment réacteur a été soufflée par une explosion. La salle de commande est très irradiante, limitant le temps de présence des intervenants.

Réacteur n°4
La partie supérieure du bâtiment est endommagée. La salle de commande est très irradiante, limitant le temps de présence des intervenants.

Réacteurs n°5 et 6
Le cœur de chacun de ces réacteurs est chargé en assemblages combustibles. Une injection d’eau dans ces cuves est maintenant en cours par un système normal. La pression et la température à l’intérieur de la cuve monte lentement. Ces réacteurs disposent de deux groupes électrogènes.
Centrale de Fukushima II (Daini)

Réacteurs n° 1, 2, 3, 4
Sur ce site, les réacteurs n° 1, 2, 3 et 4 ont atteint les conditions d’arrêt normales (appelées « arrêt à froid »). Aucune dégradation du combustible n’a eu lieu sur ces réacteurs.

Centrales d’Onagawa et de Tokai
Il n’y a pas d’élément particulier à signaler.

ANNEXE – commentaires de la photo aérienne (voir document pdf)
2 façades largement détruites – signe d’une explosion principale sous plancher de service
Ossature du toit terrasse
Réacteur 4
Piscine commune du site
Réacteur 3
Piscine probablement endommagée
Façade percée suite à une explosion dans la partie basse. Petite fuite partie basse du confinement
Puits de l’enceinte de confinement – protection biologique au dessus de l’enceinte disparue
Ruine de la moitié du plancher de service et du niveau inférieur suite à explosion
Réacteur 2
Façade impactée par projectiles provenant du réacteur 3
Réacteur 1
Plancher de service en place – piscine ok – protection biologique ok
Toit soufflé par explosion dans partie supérieure